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Lou Mazuc

Al puech amont sus la montanha,
Al miech de cada pastural,
Dins l’herba espessa e las gentianas
Trobaretz un traça d’ostal.
Lo cantalés, le bedelier ambe lo pastre
I possan des cranes « ahucs »
Aqui l’avetz nostre mazuc.

Quan dintraretz dins la cosina,
I veiretz coma mobilier
Altorn d’una taula pauc fina
Los bandinhos e los colliers.
A sul darrier, dins lo terrier
La bona cava
Dins la frescor e dins lo crum
Garda la forma del mazuc

E tot amont jos la tiulada
Al ras del fen pel bedelos
Cadun plegat dins sa flessada
Los omes barran los uelhos
Quan dins la nuech buffa
En gisclet la cantalesa
Darrier lo pargue e rescondut
S’enduern lo tropel del mazuc.

E lo matin, plan revelhasts
Dins l’aubiera e los peds nuds
Ambe la gerla e lo farrat
S’envan los omes del mazuc
Quan los bedels an fach
Un briach d’una tetada
Cada tetina sul farrat
Es una brava font de lach.

Quan à la fin d’un despartit
Tastaretz la forma d’Aubrac
Pensaretz que ser e matin
Les cantales an trimat
Per vos donar coma dessert
Lo bon fromatge
E cantaretz leu un à un
Viva los omes del mazuc

Viva totes los cantaleses
Que fan la forma e l’encalat
E los pastres de las devezas
Al miech de lor tropel l’Aubrac
Viva los rols, los bedeliers
E mai los pastres
E que totjorn sus cada truc
Se quilhan dreches los mazucs.

Cancon populara de l’Aubrac.

La peña baiona

Dans notre cher petit Bayonne
Il est une peña
La peña baiona
Ils portent fièrement partout
Leur foulard bleu et blanc
A Dax ou à Narbonne
On ne voit plus que ces gars là
Qui ont dans le cœur
Leurs chers joueurs
Du rugby roi …
Chez nous à Jean Dauger
Ou bien partout à l’extérieur
Sur tous les stades enfiévrés
Elle nous met tant d’ardeur
C’est la peña
Qui crie sa joie
Sur cet air là …

{Refrain:}
Allez Allez
Les bleus et blancs
De l’Aviron Bayonnais
C’est la peña
La peña baiona
On est tous là
Allez les gars
Encore une fois..
Allez allez
Les bleus et blancs
De l’aviron bayonnais
Jouez au ras
Puis écartez c’est l’essai
On applaudit à vos exploits,
C’est gagné …

Dans notre cher petit Bayonne
Il est une peña
La peña baiona
Ils portent fièrement partout leur
Foulard bleu et blanc
A Dax ou à Narbonne
On ne voit plus que ces gars là
Qui ont dans le cœur
Leurs chers joueurs
Du rugby roi …
Partout nos joueurs brillent
Souvent la victoire est au bout,
Les rues de bleu et blanc
S’habillent
Et la fête est partout
C’est la peña qui crie sa joie
Sur cet air là

Ah les Crocodiles !

Un crocodile, s'en allant à la guerre,
Disait, au r'voir, à ses petits enfants,
Traînant les pieds dans la poussière
Il s'en allait combattr' les éléphants.

{Refrain:}
Ah ! les cro, cro, cro, les cro, cro, cro, les crocodiles
Sur les bords du Nil, ils sont partis, n'en parlons plus {x2}

Il fredonnait une marche militaire,
Dont il mâchait les mots à grosses dents,
Quand il ouvrait la gueule tout entière,
On croyait voir ses ennemis dedans.

Il agitait sa grande queue à l'arrière,
Comm' s'il était d'avance triomphant,
Les animaux devant sa mine altière,
Dans les forêts, s'enfuyaient tout tremblants.

Un éléphant parut : et sur la terre
Se prépara ce combat de géants.
Mais près de là, courait une rivière :
Le crocodile s'y jeta subitement.

Et tout rempli d'un' crainte salutaire
S'en retourna vers ses petits enfants
Notre éléphant, d'une trompe plus fière,
Voulut alors accompagner ce chant.

Les fêtes de Mauléon

Jusqu’au plus petit coin de Navarre
De la Soule et même du Labourd
On parle de Mauléon-Licharre
Avec envie et beaucoup d’amour
De Mauléon et ses superbes fêtes
Si vivantes et pleines d’entrain
De ses allées de Soule coquettes
De son beau folklore souletin

{Refrain:}
Farandoles qui s’envolent, flambant au feu de la Saint Jean
Jolies filles qui pétillent, dans les bras de leurs chers galants
Cavalcades, sérénades, d’irrintzinas et de chansons
Nuits d’ivresse, d’allégresse, tout çà c’est les fêtes de Mauléon

Venez donc un peu voir le programme
Vous me direz s’il est vraiment beau,
Vous y trouverez messieurs, mesdames
L’éternelle course de chevaux
De splendides parties de pelote
Et un chois de danseurs souletins
Fandangos et superbes gavottes
Tout cela dans l’ambiance des bons copains.

Le soir c’est la cohue générale
Du vieux fort au fin fond du plachot
Faut voir un peu comment se trimbalent
Nos Maritxu et nos Ramuntxo
Les fougueux bergers de nos montagnes
Et la jeunesse des environs
Ont déserté ce soir la campagne
Pour goûter aux fêtes de Mauléon

Il est un coin de France

Il est un coin de France où le bonheur fleurit
Où l’on connaît d’avance les joies du paradis
Et quand on a la chance d’être de ce pays
On est comme en vacances durant toute la vie

{Refrain:}
Aire tun txikitun, aire tun aire (ter)
Aire tun txikitun, aire olé

Le jour de sa naissance, on est pelorati
Dès la première enfance, le douanier vous poursuit
Quand vient l’adolescence, les filles vous sourient
Et l’on chante et l’on danse , même quand on vieillit.

Et le soir dans nos montagnes
Nous chantons autour du feu
Et le vent qui vient d’Espagne
Porte au loin cet air joyeux.

Montagnes pyrénées

Montagnes pyrénées, vous êtes mes amours.
Cabanes fortunées, vous me plairez toujours.
Rien n’est si beau que ma patrie, rien ne plaît tant à mon amie,
Oh, les montagnard (bis), chantez en cœur (bis)
De mon pays (bis), la paix et le bonheur.

{Refrain:}
La, La, La, La, La, La, La, La, …
Halte là, Halte là, Halte là
Les montagnards, les montagnards
Halte là, Halte là, Halte là
Les montagnards sont là
Les montagnards, les montagnards
Les montagnards sont là.

Laisse là tes montagnes, disait un étranger
Suis-moi dans mes campagnes, viens ne soit plus berger.
Jamais, jamais cette folie, je suis heureux de cette vie.
J’ai ma ceinture (bis), et mon béret (bis)
Mes chants joyeux (bis), ma mie et mon chalet

Sur la cime argentée, ce ces pics orangeus,
La nature domptée, favorise nos jeux.
Vers les glaciers, d’un plomb rapide, j’atteins souvent l’ours intrépide !
Et sur les monts (bis), plus d’une fois (bis)
J’ai devancé (bis), la course de chamois.

Déjà dans la vallée, tout est silencieux
La montagne voilée, se dérobe à nos yeux
On n’entend plus dans la nuit sombre, que le torrent mugir dans l’ombre !
O montagnards (bis), chantez plus bas (bis)
Ma mie dort (bis), ne la réveillons pas.